Le 19 août 2003, 22 travailleurs humanitaires, dont le représentant spécial du secrétaire général de l’ONU pour l’Irak, Sergio Vieira de Mello, ont été tués dans un attentat à la bombe contre l’hôtel Canal à Bagdad. Cinq ans plus tard, l’Assemblée générale a adopté une résolution faisant du 19 août la Journée mondiale de l’aide humanitaire.
Chaque année, la célébration de cette journée se concentre sur une question urgente différente. Cette année, ils s’accompagnent d’un appel à l’arrêt urgent du changement climatique, ce qui est dans notre intérêt à tous. Rien que l’an dernier, les anomalies du réchauffement climatique ont forcé 30,7 millions de personnes à quitter leur foyer, les condamnant à l’errance, au manque d’eau et à la faim.
Les inondations en Allemagne et les gigantesques incendies dans le sud de l’Europe, qui se poursuivent jusqu’à ce jour, éloignent toute illusion que l’alarme climatique est une menace imaginaire. Le peuple burkinabé le sait depuis des années. A proximité du village de Gourcy, où nous développons notre projet agricole, une savane à la flore et à la faune typiquement africaines s’étendait au milieu du siècle dernier. Lions, girafes, éléphants, autruches et hippopotames. Les habitants travaillaient dans de vastes plantations de coton, dont il n’en reste aujourd’hui aucune trace. Les animaux sont partis depuis longtemps. Chaque plante semée doit être combattue pour qu’elle dure jusqu’à ce qu’elle arrive à maturité. En raison du manque d’eau, les gens n’ont rien à manger, aucun moyen de travailler et pensent de plus en plus souvent à l’émigration.
Lorsque nous avons commencé à créer des conditions de travail pour les agriculteurs du Burkina Faso il y a quelques années, nous savions que les habitants de Gourcy avaient vraiment besoin d’un soutien, mais nous ne pensions pas que la situation dans cette région allait empirer de manière aussi drastique. D’année en année, il y a de moins en moins d’eau, et les températures sont folles. Si nous n’avions pas investi dans de nouvelles solutions d’irrigation, la météo finirait par nous battre. Pour que les gens ne perdent pas leur emploi et aient suffisamment à manger, nous avons dû creuser un autre puits profond et investir constamment dans le système d’irrigation. Cela ne fonctionnera pas sans vous !
Le problème avec la Journée mondiale de l’aide humanitaire, c’est qu’elle a lieu une fois par an. Pourtant, les problèmes dont traite la Journée mondiale de l’aide humanitaire affectent chaque jour les habitants des pays les plus pauvres du monde. Et nous, nous savoir comment y remédier ! Effectuez un virement bancaire permanent de 5 PLN par semaine et rejoignez la production de bien à grande échelle. Rejoignez les personnes dans le besoin avec nous non seulement une fois par an. Grâce au projet Tope-là 5, vous pouvez être présent partout où votre aide est la plus nécessaire, 365 jours par an !
Dans la course contre la crise climatique, nous ne devons laisser personne de côté. Rejoignez le groupe de personnes qui ont un impact sur l’augmentation de bien dans ce monde. Faites-le aujourd’hui !!!