Il n’est pas possible que le fait de ne pas avoir de cahier ou des tongs les moins chères pour se rendre aux cours, fassent obstacle à l’apprentissage des compétences de base nécessaires pour survivre au Burkina Faso ! Et pourtant, tous les enfants ne commenceront pas l’école au cours de la prochaine année scolaire.
Les résultats ? Déplorable.
Le manque d’éducation est associé à une mortalité beaucoup plus élevée à l’âge adulte. Ce n’est pas seulement une statistique – c’est la réalité des adultes dans les pays africains que nous aidons chaque jour.
Ce n’est pas que les enfants n’apprennent tout simplement pas les bases de la lecture ou des mathématiques. L’éducation scolaire au Burkina Faso, c’est aussi apprendre l’agriculture, la plantation d’arbres, l’élevage, la gestion raisonnée de l’eau et les bases d’une alimentation saine. Il s’agit d’apprendre à vivre de manière autonome, ce qui devient un rêve de plus en plus lointain pour certains enfants chaque année.
C’est le rêve que vous avez rapproché de Wend Zaade et Michael – maintenant des étudiants exemplaires qui ont eu la vraie chance d’une vie – il y a plus d’un an et demi.
Nous pouvons et devons faire une différence pour les enfants qui n’ont pas encore eu leur chance dans la vie cette année. Ce petit bout du monde – le village de Gourcy – dont nous nous occupons depuis plusieurs années, a aujourd’hui besoin de votre coup de main. L’année scolaire est sur le point de commencer !
Rejoignez notre collecte de fonds – chaque layette, crayon ou cahier est votre contribution à la course de relais de la bonté, où la ligne d’arrivée est l’avenir et une vie digne pour les enfants ! Donnez-leur la chance d’une vie !